Mardi 19 juin : mardi catastrophe

Publié le par Gabriel Rocque

Oulalala, ma mia, mais c'est pas vrai de voir ça, qu'estèce que c'est que ce bazar, comment qu'on va faire pour s'en sortir dans ces conditions, mais où va t'on papa ?

Et 130 gamins dans la journée, qui dit mieux ? Et évidemment ils veulent tous fouiller.
Une petite mésentente est à l'origine de ce drame, qui fait que nous nous retrouvons avec le collége de Ruelle et ses 30 élèves qui viennent faire l'atelier normal, mais aussi 50 gamins le matin et 50 autres l'après-midi.

Pas de panique on va gérer la situation comme des pro. Nous réalisons un superbe découpage en ateliers tous aussi passionnant les uns que les autres, et pour l'occasion tout le monde est mis à contribution. Merci Sandra, Jeff, Xavier, Laurent, Agnés, Guillaume, Cyril, Marie sans m'oublier, quand même.

Première surprise des plus agréables :

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Les gamins ne sont pas 50 le matin et 50 l'après-midi, mais 100 toute la journée. V'la la tête qu'on tire quand on l'apprend, évidemment juste au moment de leur arrivée.

Aussitôt,c'est la panique, le branle bas de combat, tout le monde court dans tous les sens, on réorganise tous les ateliers. Et finalement on s'en sort comme des chefs.

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Et un atelier céramique, 

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et un atelier visite des thermes, et un atelier visite de l'aqueduc, 

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et un atelier fouilles, et un atelier prospection, 

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et un atelier tamisage.


En tout cas, une chose est certaine, on fini la journée sur les rotules.
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M
La revanche des enfants ! A force de les exploiter, ils finissent par se rebeller... et envahissent le chantier.En tout cas, belle performance car il en faut du courage pour gérer 150 gamins.
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